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Le burn-out parental existe depuis plusieurs années, mais reste un sujet assez tabou dont on n’ose pas parler, de peur d’être perçu comme des mauvais parents.
Le burn-out est différent du baby-blues et de la dépression post-natale.
Il peut survenir plusieurs mois voire plusieurs années après la naissance des enfants.

L’épuisement maternel touche plus les femmes que les hommes. La société renvoie une image fausse aux femmes, elles devraient être à la fois, des mères parfaites qui assurent aussi bien à la maison qu’au travail. Beaucoup de femmes se mettent la pression pour réussir et elles s’épuisent physiquement et surtout moralement.

Les mères qui font un burn-out ne supportent plus leurs enfants, certaines ont peur de devenir violentes avec eux, chaque situation de la vie quotidienne se transforme en angoisses. Les enfants ressentent ces angoisses et cela se manifeste par un comportement plus difficile, capricieux, ils appuyant là où ça fait mal.

Les parents ne doivent pas attendre d’être au bout du rouleau pour consulter un professionnel.
Il est important de parler avec les enfants, d’utiliser un vocabulaire adapté à son âge et de lui brièvement ce qui ne va pas, l’enfant se sentira rassuré et en confiance.

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